Monsieur L.

Il a un air de Ron Perlman Monsieur L. , comme s’il sortait tout droit d’un épisode de Son of Anarchy. Sa peau est comme la carte du chemin de sa vie. Les événements y sont grossièrement dessinés, sur les bras, les mains et même le visage. En le regardant on comprend vite que cette route a été chaotique. Il s’agace vite, Monsieur L., parcequ’il voit bien qu’il n’est plus comme avant, qu’il ne sait plus remonter les moteurs. Il oublie. Ses marques indélébiles sont les vestiges de son passé. Il n’en parle pas, mais dans son regard on comprend bien que ça, il ne l’oublie pas..